CHRISTIAN TÉTREAULT Je m'appelle Marie

auteur québecois que j,ai grandement apprécié,a lire!et a apprécié nos enfants et la paternité!

http://fr.canoe.ca/divertissement/livres/critiques/2007/10/16/jemappelle_248.JPG

Cote des internautes 5/5 (Nbre de vote : 1) Cote de Canoë 4/5

<table id="pub_boite"> <tr> <td> </td> </tr> </table>

CHRISTIAN TÉTREAULT


Je m'appelle Marie


Par Pascale Roy
16-10-2007 | 15h15































































C’est dans un récit touchant que Christian Tétreault nous livre
l’histoire de Marie, sa fille décédée à l’âge de 2 ans d’une maladie
foudroyante. Vingt-deux ans après le drame, l’auteur a voulu témoigner
de sa souffrance, mais surtout du bonheur qui a fait son chemin à
travers cette épreuve. L’histoire de cette petite fille et de sa famille
est d’ailleurs porteuse d’un message d’espoir et de courage.
La force du livre réside sans aucun doute dans l’effet de proximité et
d’intimité entre le lecteur et l’auteur, créé par la façon dont ce
dernier raconte l’histoire. On se sent presque faire partie de la
famille. La plume de Christian Tétreault ne laisse personne indifférent.
Tantôt, on sourit, tantôt on pleure.

Le récit se déroule en trois temps. La première partie relate la
rencontre de France et Christian dans les mots de Marie, jusqu’à sa
naissance. L’auteur enchaîne ensuite avec sa vie de père jusqu’au jour
du drame. La troisième partie, il la dédie à sa fille en lui écrivant
une lettre dans laquelle il lui raconte la vie après son départ, comment
elle a «laissé un héritage extraordinaire à ses frères» et a continué à
être présente dans leur cœur et à influencer leur vie. Christian
Tétreault dit d’ailleurs qu’elle a fait de lui un homme et un père
meilleurs.

Pendant la lecture, aucun parent ne peut rester insensible.
Immanquablement, il s’imaginera être à la place de l’auteur. Comment
peut-on vivre après une pareille épreuve? Quelques passages feront
certainement verser des larmes à plus d’un lecteur. Particulièrement
celui où l’auteur raconte les circonstances de la mort de son enfant.
Mais dans l’ensemble, c’est un sentiment d’espoir que la vie est plus
forte que tout qui demeure. On ferme le livre avec le sentiment de
devoir profiter de tous les moments possibles avec ses enfants.

Merci Sweetlady pour le partage de cet ouvrage dont je suis passée à côté.....

Aie aie aie,c'est encore pour verser des larmes mais je suis sure qu'il doit être magnifique,merci!